Tuesday, October 03, 2006

Les faits concernant les aliments vivants.

Les faits concernant les aliments vivants.

Un régime a base d’aliments vivants, ce n’est pas une idée nouvelle. Bien des civilisations anciennes connaissaient la valeur d’une alimentation base sur les fruits et legumes crus, les céréales germées, les graines, les légumineuses et les fruits a écales (noix, amandes, etc. ) Au début du vingtième sicle, la traduction des livres 1 a 1v de l’évangile de paix des Esséniens par le docteur Szechely révéla que l’usage d’aliments vivants dans le traitement des maladies faisait partie de la tradition occidentale et judéo-chrétienne depuis plus de deux mille ans. On dit que les Esséniens, une secte juive vivant deux ou trois siècles avant l’ère chrétienne consommaient surtout des aliments vivants, et les historiens anthropologues rapportent qu’ils vivaient en moyenne 120 ans

Les pouvoirs curatifs des aliments vivants sont également reconnus depuis longtemps par la médecine asiatique. En fait, l’usage de graines germées en alimentation et en médecine est au moins deux fois plus anciennes que la grande muraille de chine, et les documents historiques en font même état.

La valeur d’un régime a base d’aliment vivants à gagné des appuis dans le monde médical au cours des cent dernières années. Au tout début du vingtième siècle le docteur Max Gerson découvrit-le pouvoir contre ses propres migraines et plus tard contre le lupus, une maladie jusque- la considérée comme incurable. Il employa ensuite ce même type de régime contre différentes affections du blocage des artères aux troubles mentaux. Le docteur Gerson reconnaissait aux aliments vivants le pouvoir de reconstituer la force régénératrice vitale de tout l’organisme. En 1928, il guérit la femme d’Albert Schweitzer de la tuberculose a l’aide de ce régime alimentaire. Plus tard, il imposa ce même régime au célèbre docteur lui- même pour soigner son diabète, et ce dernier put abandonner l’usage de l’insuline. Des travaux subséquents permirent au docteur Gerson de découvrir que les aliments vivants améliorent la respiration cellulaire tout en renforçant le system immunitaire. Il se mit alors a utilisé ce même régime pour traiter le cancer, avec grand succès. Les travaux du docteur Max Gerson ont été mis en lumière dans un livre très documenté intitulé A Cancer Therapy.

Vers la même époque, d’autre spécialiste du monde médical et scientifique ont également demontré le pouvoir curatif des aliments vivants. Des travaux comme The Influence of Cook Food on the Blood Formula of Man, présenté par Paul Kouchakoff, M.D, alors du premier congres, international de microbiologie de Paris en 1939, et le volume publie par le docteur Edward Howell en 1946 sous le titre de Food Enzymes for Health and Logevity, ont projeté les aliments vivants a l’avant-scène des études nutritionnelles.

De nombreux autres chercheurs se mirent à exploré le pouvoir curatif des aliments vivants. Le médecin danois Kristine Nolfi adopta un régime a base d’aliments vivants pour guérir son cancer du sein et les résultats positifs de son expérimentation, tant sur elle-même que sur ses patientes, l’incitèrent a crée le sanatorium Humlegaarden qui remporta un succès éclatant au Danemark. Par mis les pionniers américains de la théorie des aliments vivants, on compte Paul Bragg, et naturellement, Ann. Wigmore et son prédécesseur Victoras Kulvinskas qui, il y a quelques décennies, fondèrent l’institut Hippocrate, ou les pouvoirs de guérison et de restauration des aliments vivants firent (et font encore )l’objet d’une expérimentation de première main par tous ceux qui en sont les hôtes.

Depuis les années 50,malheureusement, le supermarché, avec ses boites de conserve et ses aliments transformés, les promesses des aditifs chimiques et des pesticides, et la commodité de l’alimentation rapide (fast food ), ont gagne la faveur du public. L’attrait de la facilite a éclipse la valeur des aliments vivants. Mais aujourd’hui après des décennies de déclin de la santé et de vieillissement accélère, le potentiel des aliments vivants gagne à nouveau l’attention de la population.